Nouveau numéro Michel Audiard, la France glorieuse et gouailleuse Juin 24, 2022 3 commentaires Certes, il y a la nostalgie de la France glorieuse, celle du général de Gaulle et des référendums, de Pompidou et ses banlieues nouvelles, des bistrots, des caves » et des barbouzes, de Gabin et Ventura, de Simenon et Blondin. Mais Michel Audiard, c’est d’abord un esprit. Un mauvais esprit. Un mauvais esprit français en diable qui a créé une langue unique car ses répliques cultes ne sont pas des perles saisies dans les bistrots mais bien le fruit de son imagination. Des métaphores jubilatoires comme autant de friandises stylistiques. Une jactance élégante » où la liberté, la dérision, l’esprit critique et l’inventivité nous réjouissent encore cinquante ans plus tard. Et où les truands incarnent le respect de l’ordre et de la tradition ! Audiard à ses débuts fut journaliste. Franck Lhomeau, son biographe, propose dans ce numéro deux inédits publiés sous pseudo sur… Al Capone et Pierrot le Fou de fausses enquêtes où l’imagination du futur dialoguiste se déploie déjà ! La gouaille d’Audiard ne connaît pas le politiquement correct. À l’époque il n’existait pas. Relire sa prose, c’est goûter un fruit défendu. Le dialoguiste des Tontons flingueurs revendiquait l’héritage de Céline. Mais nombreux sont ceux qui le voient comme le successeur des fabulistes et moralistes du Grand Siècle. La magie d’Audiard, c’est d’avoir réconcilié le populo et l’aristo à travers la langue française. La Revue des Deux Mondes édition juillet-août 2022 est disponible en kiosques, en librairies et sur notre site. Sommaire GRAND ENTRETIEN Wajdi Mouawad Il ne faut pas confondre origine et identité » Wajdi Mouawad dirige le théâtre de la Colline depuis 2016. À travers la question de l’identité et de la mémoire qui traverse toutes ses pièces, le metteur en scène franco-libanais aspire à montrer ce qui nous rassemble et non ce qui nous divise, soit en un mot l’universalisme. MICHEL AUDIARD, LE MAUVAIS ESPRIT Sébastien Lapaque – L’esprit français tel qu’en lui-même enfin l’éternité le change La langue d’Audiard est, pour Sébastien Lapaque, un savoureux mélange de français aristocratique et de verve populaire on y trouve à la fois le grand style des dramaturges du XVIIe siècle et le parler des faubourgs parisiens. C’est là tout le génie du dialoguiste qui a su créer un verbe unique et jubilatoire. Thibaut Bruttin – Bons baisers de France. La nouvelle société pompidolienne dans les réalisations de Michel Audiard Dans les années soixante-dix, Michel Audiard devient réalisateur. Par le truchement de personnages paumés, ses neuf films explorent la France de l’époque et portent un regard très sévère sur la société voulue par Pompidou. Franck Lhomeau – L’attraction exercée par les ennemis publics sur la cervelle des cinéastes ne date pas d’aujourd’hui… Michel Audiard commence sa carrière en tant que journaliste. Ses reportages sont parfois de pures fictions. C’est ainsi qu’il relate une rencontre fictive avec Al Capone puis enquête sur l’ennemi public n°1, Pierrot le Fou. Franck Lhomeau présente les deux textes qu’il a retrouvés, dont l’un est inédit. Olivier Cariguel – L’Occupation une idée fixe de Michel Audiard ? Il a fallu attendre vingt ans après la victoire des Alliés pour que cesse la propagande d’une France résistante. Michel Audiard, qui travailla pour deux journaux collaborationnistes antisémites, a mené plusieurs réflexions sur le régime de Vichy. Olivier Cariguel nous explique pourquoi cette période imprègne son œuvre. Jacques de Saint Victor – Les Tontons flingueurs, miroir déformant du milieu ? Film culte, Les Tontons flingueurs multiplie les références à la France gaulliste d’après-guerre et convoque le monde de la mafia. Jacques de Saint Victor montre comment cette parodie a façonné notre imaginaire sur le milieu. Michel Audiard – Morceaux choisis Nous publions un florilège de ses meilleures citations et répliques de films. Et aussi Jean-Pierre Naugrette, Pierre Assouline et Denis Benoît. LITTÉRATURE Robert Kopp – Le secret de Labiche Robert Kopp revient sur la personnalité de Georges Labiche et sur les succès intemporels de ses vaudevilles. ÉTUDES, REPORTAGES & RÉFLEXIONS Yvon Lebranchu – Le recul de la France dans les essais cliniques La recherche clinique médicamenteuse se porte mal dans notre pays. Yvon Lebranchu en analyse les raisons. La Revue des Deux Mondes édition juillet-août 2022 est disponible acheter ce numéro

1111, le mal a un nouveau numéro News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 1,4 77 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur 1111, le mal a un nouveau numéro ? 15 critiques spectateurs 5 0 critique 4 0 critique 3 1 critique 2 1 critique 1 6 critiques 0 7 critiques Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés un espece de prequel de l'oeuvre Phenomenes paranormaux mais sans les belles images. C'est interprété à la va vite. Sans plus. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 2/5 Pas mon premier film du réalisateur, donc je dois dire, malheureusement qu’il ne m’enthousiasme guère ici. Il y a pas à dire, son film manque sérieusement de fait l’histoire en elle-même n’est pas tip top, mais je retrouve la bonne volonté du réalisateur, habitué de ce genre de scénario. La conclusion est assez bonne, le déroulé souffre de quelques longueurs mais rien de bien méchant, le souci vient surtout d’une révélation finalement pas terrible, prévisible, et d’un manque de suspens certain. Encore que ce n’est là pas le souci prédominant du film qui, sans surprendre et sans se montrer très performant, aurait pu être acceptable avec d’autres en fait le casting est vraiment peu convaincant. Il y a des seconds rôles réellement très mauvais, l’antagoniste n’a aucun charisme, et l’héroïne dispose d’un personnage totalement pas crédible, qu’elle ne parvient guère à transcender avec son jeu laborieux. En plus de cela elle est épaulé par un acteur médiocre, lui aussi anti-charismatique, et qui ne sert strictement à rien ! Le film exploite vraiment très mal ses personnages, et je n’ai pas trouvé un seul interprète franchement bon, le moins pire étant peut-être le shérif, mais il apparait le film n’a pas grand-chose pour lui. Mise en scène tapageuse qui s’avère d’une inefficacité incroyable dans les scènes de mort dommage car il y a une idée assez amusante, mais la réalisation est un gâchis, décors minimalistes, photographie plutôt vilaine, grisâtre, estampillée téléfilm qui ne dégage aucune ambiance, le film n’est pas même vraiment sauvé par sa bande son qui ne se lâche que dans le générique de fin, et par ses effets horrifiques ce film ne présente pas d’intérêt majeur. Très classique sur le fond, plutôt loupé pour le reste, c’est un produit basique du genre horrifique, un de ceux qu’il faut voir si on est très sensible, et qu’on débute dans le genre. Bafaro a quand même fait mieux, là il m’a déçu. 1. C'est la première fois que je me lance dans la vision d'un film de Michael Bafaro et je dois bien avouer que l'envie de retenter l'expérience est tout sauf pressante ! Des acteurs en dessous de tout, une mise en scène bâclée du moins je l'espère sans quoi ce réalisateur c'est trompé de métier, une histoire... euh en fait après coup je me demande si il y a vraiment une histoire, bref un film à éviter auquel j'octroie une étoile par simple compassion. Je n'en tire qu'une chose à dire “Si seulement j'avais pu mettre 0….”Un film qui n'a absolument aucune utilité et dont la logique est complètement stupide. Le classer dans la catégorie "épouvante-horreur" serait comme placer des films Disney dans la catégorie " de 18ans". Si quelqu'un trouve la partie qui fait peur, qu'il me prévienne ! Un film à regardé avec patience . Une bonne histoire , peu être un léger manque d'action , mais pas si nul que ça . Personne voulant ce faire peur avec ce film passer votre chemin . Personne qui s'intéresse à la religion ou au mysticisme regarder le ça vaut le coup . 1111 - Le Mal a un nouveau numéro 2004 est un film d’épouvante canadien qui pourrait s’apparenter à un téléfilm, avec ses acteurs de seconde zone incapable de rendre crédible leurs personnages, des dialogues à la limite du ridicule, un scénario tout simplement inintéressant et ce titre, que dire si ce n’est qu’à lui seul on devine aisément l’étendu des dégâts. Michael Bafaro a bâclé son film, dès le départ il se ramasse, il faut dire qu’il n’est pas vraiment aidé, avec des acteurs de cet acabit. Ajoutez à cela une mise en scène amorphe, avec des scènes de dialogues à n’en plus finir et vous obtenez au final un soi-disant film d’épouvante qui ne fait en aucun cas frissonner le spectateur, si ce n’est de le faire bâiller. Le pire dans tout ça, c’est lorsque le distributeur s’est permis de rajouter cette tagline sur l’affiche du film "Entre Sixième Sens et Cube", plus mensonger, cela n’existe pas ! quand j'ai vus que ce film était fini, je me suis dis "enfin !", dailleurs ce film commence vraiment à un moment ou pas ? rien de spécial à dire à part que tout est médiocre, scénario, acteurs ... pas de suspens rien ! nada ! ne perdez pas de temps devant ce film ; Pourquoi je l'ai regardé u_u déjà comme ça a été dit, le titre est bidon. Mais ce sacré film totalement débile, a un moment je pensais enfin arriver à une vraie petite scène d'angoisse lorsque "Tête à claque" appelons-là comme ça, se trouve avec la prof dans l'amphi et qu'en arrière plant, sur les gradins, on aperçoit une ombre. Pas de musique de fond pour indiquer une future scène d'angoisse... il s'avère juste qu'un membre de l'équipe de tournage était tellement bien placé qu'on voyait son ombre... à mourir de rire !!!Bref, film foireux. Je ne répète pas ce qui a déjà été dit... je suis du même avis que les autres ; Aurait pu être bien. Cependant il ne fait pas peur. Souffre d'un grand manque d'action et de suspense. Le film le plus navrant du XXIème millénaire. En effet, dénué de ce sens, il est purement et simplement ringard. Sur certains plans, on peut distinguer les perches qui prennent le sons. Néanmoins, ce film devient intéressant du où on le prend au centième degré. A vous de voir. Je met une étoile, mais seulement parce que le réalisateur s'est fait chier à faire ce film. Le personnage principale fait tellement pitié qu'on a envie de la claquer tout au long du film. Sa laideur n'arrange rien et tout ce qu'on lui souhaite c'est qu'elle meure pour que le film se termine au plus vite. Les autres personnages sont tous aussi pathétiques y compris l'histoire. En gros, vous devriez le conseiller à ceux que vous n'aimez pas. Heu MDR j ai deja vu des navets mais alors la c est le ponpon !!! Les acteurs sont d'une nulités incroyable le personnage principal est une vraie tete à claque c'est impressionnant l'histoire ha y en a une???!! est à dormir debout,aucun suspence aucune action et 3 pages de script peut on sortir des films pareil c est une honte 1111 Le mal a un nouveau numéro est un des films les plus nuls que j'ai vu ! C'est surement le plus mauvais film d'horreur de tous les temps ! Le personnage principal est nul et franchement on a juste envie de lui dire que de toute façon on écoute rien de ce qu'elle raconte tellement c'est long ! L'histoire n'avance pas ! Un film que je ne conseille à personne ! Même le titre fait rire c'est nouveau, ça vient de sortir, le Mal a un tout nouveau n°.Que dire un jeu d'acteur à couper le souffle, un scénario que même une bande de lycéens geeks n'auraient pas trouvé mieux, une mise en scène douée, une idée le 1111 qu'on essaie d'insuffler dans l'histoire de manière ridicule, des dialogues ingénieux "quand la 7° porte du mal s'ouvrira, nos frères les dauphins s'en prendront aux humains".Bref du grand art !1 étoile pour le côté film d'horreur à voir entre potes en soirée pour finir les gâteaux apéro entre deux verres. le Mal à un nouveau numéro, est un film d'horreur qui est tout simplement à zapper, à oublier, à ne même pas regarder !1h30 d'ennui, de scènes inutile, un scénario HYPER t i r é p a r l e s c h e v e u deux actrices Laura Mennell et Christie Will jouent très mal. Entre l'autre Laura Mennell qu'on a envie de secouer, pendant 1h30, elle pleure, elle crie, elle a peur, elle est paumée ... Le personnage est TRES agaçant !!Et l'autre Christie Will qui est carrément absente, aucune émotion, aucun sentiment, pas crédible une seconde, dommage car c'est quand même LE personnage qui représente le mal dans le film. A cause d'elle, le film n'a plus de sens, déjà que Laura Mennell ne rattrape rien puisqu'elle est aussi mauvaise qu'elle. En plus de ça, il faut rajouter le scénario qui est brouillon, très confus ...Bref, une grosse perte de temps ... le mal à un nouveau numéro rien que le titre est déja assez ridicule est à éviter d'urgence . Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse

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Le pape François poursuit le renouvellement des responsables de la Congrégation pour le clergé. Quelques semaines après avoir nommé un nouveau préfet à la tête de ce dicastère stratégique, en charge des rapports avec les prêtres dans plus de la moitié des diocèses du monde, le pape François en a nommé, mercredi 8 septembre, le numéro 2 ». C’est Mgr Andrés Gabriel Ferrada Moreira, un Chilien de 52 ans, qui hérite donc de la charge de secrétaire de la congrégation pour le prêtre originaire de la capitale chilienne, Santiago, est titulaire d’un doctorat de théologie, obtenu à Rome en 2006, avant de retourner dans son diocèse d’origine. Mais ce spécialiste du Pentateuque, formateur au séminaire, est revenu au Vatican douze ans plus tard, en 2018, pour travailler dans le dicastère où il est aujourd’hui promu.→ À LIRE. À Rome, Mgr Lazarus You Heung-sik nommé préfet de la Congrégation pour le clergéSa nomination signe toutefois une reconnaissance bien plus grande que celle de son travail au Vatican. Car le père Andrés Gabriel Ferrada Moreira fut aussi l’un des tout premiers prêtres à avoir publiquement témoigné, devant la justice chilienne, contre Fernando témoignage essentielFigure centrale d’un immense scandale d’abus sexuels au Chili, l’ancien prêtre Karadima, mort en juillet 2021, s’est rendu coupable de multiples abus sexuels au, et fut reconnu coupable d’agressions sexuelles sur mineurs avec violence et abus de son autorité ecclésiastique en 2011, avant d’être définitivement renvoyé de l’état clérical le 27 septembre 2018 par le pape François.→ RELIRE. Chili décès de Fernando Karadima, ancien prêtre coupable de multiples abus sexuelsSi le père Andrés Gabriel Ferrada Moreira n’a jamais été agressé sexuellement par Karadima, il a notamment décrit la personnalité manipulatrice du prêtre, capable d’exercer une grande influence sur les personnes ». Un témoignage qui fut alors essentiel, car il vint confirmer les plaintes de nombreuses victimes. Selon la journaliste Maria Olivia Monckeberg, qui publia en 2011 un livre intitulé Karadima le maître des enfers, le prêtre fut également témoin de gestes déplacés du prêtre sur de jeunes hommes, ce qui me mettait mal à l’aise, mais que personne ne remettait en cause », expliquait alors le père Ferrada Ferrada Moreira remplace Mgr Joël Mercier, qui exerçait cette fonction depuis 2015, et qui a atteint l’âge de la retraite.→ PODCAST. Réformateur ou révolutionnaire ? Écoutez notre série sur le pape François

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